Matériau naturel, le bois présente des variations intrinsèques de couleur, de grain et de finition.  Il est essentiel de comprendre et d’accepter cette variabilité. Qu’il s’agisse de BLC (Glulam), de CLT ou de NLT, les différentes essences, qualités de finition et types de produits affichent des caractéristiques visuelles et de performance qui leur sont propres. Une communication transparente de ces distinctions est essentielle avec les propriétaires (y compris les acquéreurs de condominiums) dès le début de la conception, afin d’aligner les attentes et d’éviter les surprises. Précisons qu’actuellement, aucune norme officielle ne régit la performance esthétique des finitions du bois massif. Cet article expose les attentes et les meilleures pratiques concrètes, issues de l’expérience de projets de bois massif achevés. Il aborde la qualité des finitions, les variations de couleur, les jeux de joints et les aspects liés aux réparations.

Produits, qualités et essences de bois massif

Le marché offre une diversité de produits en bois massif. Chacun présente des qualités visuelles uniques, qui varient selon sa méthode de fabrication et les matériaux employés.

Les produits les plus courants sont fabriqués à partir de bois d’œuvre. Le NLT et le DLT (bois lamellé-goujonné) font partie des systèmes de bois lamellé mécaniquement (MLT), lesquels permettent d’assembler les pièces de bois d’œuvre (comme les 2x6 et 2x8) par leurs chants. Les profils de chant, ainsi que la présence de joints à entures multiples en bout, sont susceptibles de varier d’un produit et d’un fabricant à l’autre.

Le BLC et le CLT sont composés de couches de bois d’œuvre raboté et collé. Pour le BLC, les couches sont empilées sur chant; pour le CLT, les couches (ou lamelles) sont orientées perpendiculairement et collées à plat. Certains panneaux de CLT sont collés sur chant; cette technique de fabrication réduit les espaces entre les planches.

Fabriqué par compression de minces placages ou lamelles de bois, le bois composite structurel (SCL) constitue une catégorie de produits massifs à part entière. Le bois de placage stratifié (LVL) s’apparente à un contreplaqué épais, alors que le bois de lamelles stratifiées (LSL) et le bois de copeaux longs parallèles (PSL) sont formés de lamelles de bois collées. Moins fréquents dans les applications exposées, les produits SCL constituent néanmoins une option visuellement attrayante.

L’essence et la qualité de finition sont aussi des facteurs déterminants pour l’apparence visuelle d’un produit. Prenons l’exemple du Douglas taxifolié, qui offre de riches nuances orange-rouge et un grain distinct. L’épinette noire, pour sa part, est significativement plus claire et comporte une multitude de petits nœuds. Bon nombre de fabricants offrent des qualités industrielles/brutes ainsi que des qualités visuelles haut de gamme. Il n’y a pas de produit intrinsèquement supérieur; la sélection doit donc s’aligner sur la vision architecturale et les priorités du client. Dans les projets de condominiums, cette décision est parfois prise après le début de la commercialisation des unités. C’est pourquoi les visuels et rendus doivent absolument éviter de montrer des finitions trompeuses, avec un aspect de bois poli qui n’est pas réaliste.

Qualité de la finition

Les éléments en bois massif présenteront naturellement des irrégularités de texture et de profondeur. Une finition de type placage n’est pas une attente réaliste pour le bois massif. Même si de légères incohérences sont acceptables, voire recherchées, les surfaces accessibles aux occupants doivent toujours être exemptes d’échardes. Pour des raisons de sécurité et de durabilité, les coins, qui sont particulièrement fragiles, doivent être adoucis, chanfreinés ou arrondis.

Il est normal de trouver des nœuds, des gerces et un suintement occasionnel de sève. La sève séchée se retire facilement avec une lame de rasoir. On peut appliquer des produits d’étanchéité en usine ou sur place pour augmenter la durabilité et simplifier l’entretien.  Ils diminuent la porosité du bois, facilitent son nettoyage et offrent une protection UV, mais leur usage n’est pas obligatoire. L’utilisation de ces produits dépend des objectifs du projet et requiert un entretien régulier, car ils s’usent avec le temps.

On considère généralement acceptables les imperfections de surface qui ne se voient pas à une distance de 5 à 10 pieds (environ 1,5 à 3 mètres) dans des conditions d’utilisation courantes. Toute surface endommagée qui se trouve dans le champ de vision doit être réparée en utilisant des techniques appropriées.

  • Trous de vis < 6,35 mm (¼ pouce) :  Ils peuvent être laissés tels quels.

  • Trous ≥ 6,35 mm (¼ pouce) : Ils doivent être remplis avec des bouchons de bois, coupés, poncés et de couleur assortie au bois environnant.

  • Entailles plus importantes :  Elles peuvent nécessiter le remplacement de lamelles ou une intervention plus profonde selon les directives du fabricant.

Les produits de remplissage (wood filler) ne sont pas recommandés. Ils ont une faible durabilité et il est difficile d’en assortir la couleur. Un léger ponçage peut suffire à corriger les petits dommages situés près des coins. Avant de commencer les réparations, l’équipe de projet — composée du propriétaire, de l’architecte et de l’entrepreneur — devrait établir les critères et les normes.

Lignes directrices : dommages et réparations

Il incombe aux entrepreneurs de veiller à la protection des éléments en bois massif durant toute la phase de construction. On peut limiter les dommages, les taches et le blanchiment dû au soleil grâce à des plans de gestion de l’humidité et de protection soigneusement élaborés.

L’exposition à la pluie n’est pas un problème en soi, mais elle peut retarder le chantier. Un séchage sera peut-être nécessaire avant d’installer des systèmes de protection comme les pare-humidité ou les revêtements de béton. Voici les solutions possibles :

  • Assemblages muraux préfabriqués pour accélérer l’installation de l’enveloppe du bâtiment.

  • Bâchage temporaire de la façade extérieure.

  • Membranes respirantes enroulées autour des éléments en bois, équipées d’orifices de ventilation.

Il est recommandé de recouvrir les surfaces à haut risque d’une protection antichoc, par exemple du contreplaqué avec renfort en mousse. Investir dans une protection préventive est considérablement plus avantageux financièrement que d’effectuer des réparations après la construction.

Mesures de protection durant la construction

Le bois bouge naturellement avec les variations d’humidité. C’est une caractéristique inhérente à ce matériau. Il faut donc s’attendre à la présence de petites gerces et de jeux.

  • Gerces : 1 à 2 mm

  • Entre les lamelles des panneaux CLT (non collées sur chant) : 2 à 3 mm

  • Entre les pièces de bois d’œuvre des MLT : 1 à 2 mm

  • Entre les panneaux CLT : 2 à 4 mm

Dans certains cas, on insère délibérément des joints de dilatation plus larges, qui sont ensuite comblés avec des inserts de bois d’œuvre, des scellants ou des capuchons résistants au feu. Les jeux à l’intérieur ou entre les éléments doivent, si nécessaire, respecter les exigences de résistance au feu. Leur évaluation doit se faire au cas par cas, en concertation avec l’architecte et selon les codes applicables.

Jeux et tolérances

Variations de couleur

La variation de couleur est une caractéristique normale et prévisible du bois massif. Elle est causée par les différences entre les essences et l’exposition du bois à l’environnement pendant la construction. Le bois peut également se décolorer à cause du soleil (blanchiment), des taches de rouille, de la saleté, ou du contact avec le béton, entre autres. Il est fortement conseillé d’appliquer un scellant transparent en usine pour s’assurer que la poussière et les autres saletés se nettoient facilement sur le chantier. Avec un tel scellant, la majorité des marques superficielles pourront être enlevées simplement en utilisant un savon doux, de l’eau et une brosse souple. On peut également utiliser l’acide oxalique comme nettoyant. Cependant, il faut appliquer un neutralisant avant tout scellant ou toute teinture pour prévenir les irrégularités de couleur. L’application d’une finition sur place, si nécessaire, s’effectuera en fin de chantier, quand l’environnement intérieur sera propre.

Les entrepreneurs devraient prendre des mesures pour minimiser la décoloration causée par les UV pendant la construction. Pour éviter les « ombres » rectangulaires sur la surface du bois, par exemple quand on utilise des platines de contreventement temporaires en acier, il faut protéger une zone plus large avec des bâches. On décourage généralement le ponçage, car il peut entraîner des finitions irrégulières et un « effet zébré » à cause des caractéristiques de surface inégales. Si le ponçage s’avère indispensable, il faut l’appliquer de manière uniforme (environ 1 mm de profondeur) sur toutes les faces exposées afin de préserver la régularité visuelle.

Ceux qui recherchent une apparence uniforme peuvent opter pour des traitements architecturaux comme le chaulage, le décapage ou la teinture, qui donnent ce genre de résultat. Peu importe la méthode choisie, il est essentiel de toujours fournir des directives d’entretien et de soin.

article vedette

wood design and building logo

Faites défiler pour lire

Conclusion

La variation naturelle du bois massif constitue l’un de ses plus grands atouts. Au lieu de rechercher l’uniformité, les intervenants du projet devraient plutôt apprécier les caractéristiques visuelles uniques du bois exposé. Les variations de couleur, de texture de surface et les petites imperfections sont autant d’éléments qui donnent au bois massif sa beauté et son authenticité.

L’essentiel est d’établir une communication ouverte et précoce entre tous les intervenants (propriétaires, architectes, fabricants et constructeurs). C’est indispensable pour que les attentes concernant la finition soient clairement établies et pleinement satisfaites. Pour que le bois massif atteigne tout son potentiel en tant que matériau structural et esthétique à faible émission de carbone dans les constructions modernes, une planification judicieuse et une compréhension réaliste de ses particularités sont essentielles.

Matériau naturel, le bois présente des variations intrinsèques de couleur, de grain et de finition.  Il est essentiel de comprendre et d’accepter cette variabilité. Qu’il s’agisse de BLC (Glulam), de CLT ou de NLT, les différentes essences, qualités de finition et types de produits affichent des caractéristiques visuelles et de performance qui leur sont propres. Une communication transparente de ces distinctions est essentielle avec les propriétaires (y compris les acquéreurs de condominiums) dès le début de la conception, afin d’aligner les attentes et d’éviter les surprises. Précisons qu’actuellement, aucune norme officielle ne régit la performance esthétique des finitions du bois massif. Cet article expose les attentes et les meilleures pratiques concrètes, issues de l’expérience de projets de bois massif achevés. Il aborde la qualité des finitions, les variations de couleur, les jeux de joints et les aspects liés aux réparations.

Produits, qualités et essences de bois massif

Le marché offre une diversité de produits en bois massif. Chacun présente des qualités visuelles uniques, qui varient selon sa méthode de fabrication et les matériaux employés.

Les produits les plus courants sont fabriqués à partir de bois d’œuvre. Le NLT et le DLT (bois lamellé-goujonné) font partie des systèmes de bois lamellé mécaniquement (MLT), lesquels permettent d’assembler les pièces de bois d’œuvre (comme les 2x6 et 2x8) par leurs chants. Les profils de chant, ainsi que la présence de joints à entures multiples en bout, sont susceptibles de varier d’un produit et d’un fabricant à l’autre.

Le BLC et le CLT sont composés de couches de bois d’œuvre raboté et collé. Pour le BLC, les couches sont empilées sur chant; pour le CLT, les couches (ou lamelles) sont orientées perpendiculairement et collées à plat. Certains panneaux de CLT sont collés sur chant; cette technique de fabrication réduit les espaces entre les planches.

Fabriqué par compression de minces placages ou lamelles de bois, le bois composite structurel (SCL) constitue une catégorie de produits massifs à part entière. Le bois de placage stratifié (LVL) s’apparente à un contreplaqué épais, alors que le bois de lamelles stratifiées (LSL) et le bois de copeaux longs parallèles (PSL) sont formés de lamelles de bois collées. Moins fréquents dans les applications exposées, les produits SCL constituent néanmoins une option visuellement attrayante.

L’essence et la qualité de finition sont aussi des facteurs déterminants pour l’apparence visuelle d’un produit. Prenons l’exemple du Douglas taxifolié, qui offre de riches nuances orange-rouge et un grain distinct. L’épinette noire, pour sa part, est significativement plus claire et comporte une multitude de petits nœuds. Bon nombre de fabricants offrent des qualités industrielles/brutes ainsi que des qualités visuelles haut de gamme. Il n’y a pas de produit intrinsèquement supérieur; la sélection doit donc s’aligner sur la vision architecturale et les priorités du client. Dans les projets de condominiums, cette décision est parfois prise après le début de la commercialisation des unités. C’est pourquoi les visuels et rendus doivent absolument éviter de montrer des finitions trompeuses, avec un aspect de bois poli qui n’est pas réaliste.

Qualité de la finition

Les éléments en bois massif présenteront naturellement des irrégularités de texture et de profondeur. Une finition de type placage n’est pas une attente réaliste pour le bois massif. Même si de légères incohérences sont acceptables, voire recherchées, les surfaces accessibles aux occupants doivent toujours être exemptes d’échardes. Pour des raisons de sécurité et de durabilité, les coins, qui sont particulièrement fragiles, doivent être adoucis, chanfreinés ou arrondis.

Il est normal de trouver des nœuds, des gerces et un suintement occasionnel de sève. La sève séchée se retire facilement avec une lame de rasoir. On peut appliquer des produits d’étanchéité en usine ou sur place pour augmenter la durabilité et simplifier l’entretien.  Ils diminuent la porosité du bois, facilitent son nettoyage et offrent une protection UV, mais leur usage n’est pas obligatoire. L’utilisation de ces produits dépend des objectifs du projet et requiert un entretien régulier, car ils s’usent avec le temps.

Conclusion

La variation naturelle du bois massif constitue l’un de ses plus grands atouts. Au lieu de rechercher l’uniformité, les intervenants du projet devraient plutôt apprécier les caractéristiques visuelles uniques du bois exposé. Les variations de couleur, de texture de surface et les petites imperfections sont autant d’éléments qui donnent au bois massif sa beauté et son authenticité.

L’essentiel est d’établir une communication ouverte et précoce entre tous les intervenants (propriétaires, architectes, fabricants et constructeurs). C’est indispensable pour que les attentes concernant la finition soient clairement établies et pleinement satisfaites. Pour que le bois massif atteigne tout son potentiel en tant que matériau structural et esthétique à faible émission de carbone dans les constructions modernes, une planification judicieuse et une compréhension réaliste de ses particularités sont essentielles.

Il incombe aux entrepreneurs de veiller à la protection des éléments en bois massif durant toute la phase de construction. On peut limiter les dommages, les taches et le blanchiment dû au soleil grâce à des plans de gestion de l’humidité et de protection soigneusement élaborés.

L’exposition à la pluie n’est pas un problème en soi, mais elle peut retarder le chantier. Un séchage sera peut-être nécessaire avant d’installer des systèmes de protection comme les pare-humidité ou les revêtements de béton. Voici les solutions possibles :

  • Assemblages muraux préfabriqués pour accélérer l’installation de l’enveloppe du bâtiment.

  • Bâchage temporaire de la façade extérieure.

  • Membranes respirantes enroulées autour des éléments en bois, équipées d’orifices de ventilation.

Il est recommandé de recouvrir les surfaces à haut risque d’une protection antichoc, par exemple du contreplaqué avec renfort en mousse. Investir dans une protection préventive est considérablement plus avantageux financièrement que d’effectuer des réparations après la construction.

Mesures de protection durant la construction

On considère généralement acceptables les imperfections de surface qui ne se voient pas à une distance de 5 à 10 pieds (environ 1,5 à 3 mètres) dans des conditions d’utilisation courantes. Toute surface endommagée qui se trouve dans le champ de vision doit être réparée en utilisant des techniques appropriées.

  • Trous de vis < 6,35 mm (¼ pouce) :  Ils peuvent être laissés tels quels.

  • Trous ≥ 6,35 mm (¼ pouce) : Ils doivent être remplis avec des bouchons de bois, coupés, poncés et de couleur assortie au bois environnant.

  • Entailles plus importantes :  Elles peuvent nécessiter le remplacement de lamelles ou une intervention plus profonde selon les directives du fabricant.

Les produits de remplissage (wood filler) ne sont pas recommandés. Ils ont une faible durabilité et il est difficile d’en assortir la couleur. Un léger ponçage peut suffire à corriger les petits dommages situés près des coins. Avant de commencer les réparations, l’équipe de projet — composée du propriétaire, de l’architecte et de l’entrepreneur — devrait établir les critères et les normes.

Lignes directrices : dommages et réparations

Variations de couleur

La variation de couleur est une caractéristique normale et prévisible du bois massif. Elle est causée par les différences entre les essences et l’exposition du bois à l’environnement pendant la construction. Le bois peut également se décolorer à cause du soleil (blanchiment), des taches de rouille, de la saleté, ou du contact avec le béton, entre autres. Il est fortement conseillé d’appliquer un scellant transparent en usine pour s’assurer que la poussière et les autres saletés se nettoient facilement sur le chantier. Avec un tel scellant, la majorité des marques superficielles pourront être enlevées simplement en utilisant un savon doux, de l’eau et une brosse souple. On peut également utiliser l’acide oxalique comme nettoyant. Cependant, il faut appliquer un neutralisant avant tout scellant ou toute teinture pour prévenir les irrégularités de couleur. L’application d’une finition sur place, si nécessaire, s’effectuera en fin de chantier, quand l’environnement intérieur sera propre.

Les entrepreneurs devraient prendre des mesures pour minimiser la décoloration causée par les UV pendant la construction. Pour éviter les « ombres » rectangulaires sur la surface du bois, par exemple quand on utilise des platines de contreventement temporaires en acier, il faut protéger une zone plus large avec des bâches. On décourage généralement le ponçage, car il peut entraîner des finitions irrégulières et un « effet zébré » à cause des caractéristiques de surface inégales. Si le ponçage s’avère indispensable, il faut l’appliquer de manière uniforme (environ 1 mm de profondeur) sur toutes les faces exposées afin de préserver la régularité visuelle.

Ceux qui recherchent une apparence uniforme peuvent opter pour des traitements architecturaux comme le chaulage, le décapage ou la teinture, qui donnent ce genre de résultat. Peu importe la méthode choisie, il est essentiel de toujours fournir des directives d’entretien et de soin.

Le bois bouge naturellement avec les variations d’humidité. C’est une caractéristique inhérente à ce matériau. Il faut donc s’attendre à la présence de petites gerces et de jeux.

  • Gerces : 1 à 2 mm

  • Entre les lamelles des panneaux CLT (non collées sur chant) : 2 à 3 mm

  • Entre les pièces de bois d’œuvre des MLT : 1 à 2 mm

  • Entre les panneaux CLT : 2 à 4 mm

Dans certains cas, on insère délibérément des joints de dilatation plus larges, qui sont ensuite comblés avec des inserts de bois d’œuvre, des scellants ou des capuchons résistants au feu. Les jeux à l’intérieur ou entre les éléments doivent, si nécessaire, respecter les exigences de résistance au feu. Leur évaluation doit se faire au cas par cas, en concertation avec l’architecte et selon les codes applicables.

Jeux et tolérances

article vedette

wood design and building logo