Alors que la crise du logement pousse l’industrie de la construction à livrer plus d’unités plus rapidement, de nouvelles solutions émergent pour répondre aux besoins croissants du marché. Parmi elles, les structures en bois — qu’elles soient en bois léger ou en bois massif — gagnent en popularité pour leur rapidité d’exécution, leur durabilité et leur empreinte carbone réduite.

Mais cette évolution ne peut se faire au détriment du confort. Les attentes des occupants en matière d’acoustique demeurent élevées et c’est précisément là que les innovations récentes dans les systèmes d’insonorisation entrent en jeu. Des systèmes de chapes sèches permettent aujourd’hui d’atteindre un excellent niveau d’isolation sonore tout en réduisant le poids global de la structure — un atout non seulement pour les bâtiments en bois, mais aussi dans le contexte des nouvelles exigences sismiques introduites au Canada, où le poids des constructions devient un facteur critique en matière de sécurité.

En parallèle, les nouvelles normes et codes du bâtiment s’orientent vers des solutions plus durables et à faibles émissions de carbone, sans compromettre la performance acoustique. Cette double exigence — écologique et acoustique — redéfinit les critères de sélection des matériaux et des méthodes de construction.

L’industrie évolue vers des solutions durables, légères et performantes et l’acoustique doit suivre cette même voie. Comprendre les indices acoustiques et miser sur des assemblages testés en conditions réelles sont des clés pour assurer la satisfaction des occupants.

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Il est essentiel de toujours vérifier le contexte des résultats acoustiques publiés. Trop souvent, des chiffres sont présentés sans mention du type d’essai (en laboratoire ou en chantier) ni détails sur l’assemblage testé. Cela peut mener à de mauvaises décisions et, ultimement, à des plaintes de la part des occupants.

Si les innovations sont au rendez-vous, encore faut-il être en mesure de mesurer leur efficacité de manière fiable. Dans le domaine de l’acoustique, la distinction entre les tests en laboratoire et les mesures sur le terrain est cruciale.

Les indices STC (Sound Transmission Class) et IIC (Impact Insulation Class), souvent mis de l’avant, sont obtenus en laboratoire dans des conditions idéales. Ces valeurs, bien qu’utiles pour la comparaison initiale, ne reflètent pas toujours la réalité du chantier.

C’est pourquoi AcoustiTECH privilégie aussi l’évaluation à partir d’indices mesurés en conditions réelles :

• ASTC (Apparent Sound Transmission Class) : mesure la capacité d'un assemblage, tel qu'un mur ou un plancher, à atténuer la transmission des bruits aériens dans des conditions réelles de construction. Contrairement aux essais en laboratoire, l'ASTC reflète les performances acoustiques tout en tenant compte des spécificités et des particularités des méthodes de construction sur site.

• AIIC (Apparent Impact Insulation Class) : évalue l'isolation acoustique des bruits d'impact dans un ensemble plancher/plafond directement sur site. Ce test offre une représentation plus précise de la construction réelle en intégrant les spécificités et les faiblesses des structures. Il fournit une plus grande précision en tenant compte des pertes sonores indirectes dues aux méthodes de construction utilisées.

• HIIC (High Impact Insulation Class) : Plus récent, cet indice évalue la performance d’isolation aux bruits d’impact dans les fréquences moyennes et élevées — celles qui influencent directement le confort acoustique perçu par les occupants. Il cible notamment les bruits les plus susceptibles de générer des plaintes, comme les talons hauts ou le déplacement de meubles.

Selon le Code national du bâtiment (CNB), les exigences minimales pour les assemblages plancher/plafond dans les bâtiments résidentiels multilogements sont :

• STC ≥ 50 ou ASTC ≥ 47

• Aucun minimum requis pour IIC ou AIIC (mais un IIC ≥ 55 est généralement recommandé pour un confort accru)

BarrierTek’s mission remains clear: Reduce The Risk of Residential Construction Fires. As the company continues to expand and invest in Canadian-made innovation and manufacturing, it’s poised to be a part of the next step in construction innovation. One built on collaboration, resilience, and a belief in what Canadian ingenuity can achieve.

In 2025, BarrierTek took a major step forward by opening a new production facility near Kamloops, BC. Located in a strategic lumber distribution hub, the facility allows BarrierTek to efficiently supply the BC market while continuing to serve the Prairie provinces. It also well positions the company for future expansion into Eastern Canada.

This growth isn’t just logistical—it’s a statement of confidence in Canadian construction and in wood as the future of sustainable building. 

As Canadian cities confront a housing crisis and aim to speed up construction timelines while increasing density and reducing urban sprawl, 4+ storey multi-family developments and row housing have become essential. Building in tighter, high-density environments means complying with Adjacent Property Protection Planning (APPP) requirements, fire code constraints, and faster construction timelines.

BarrierTek’s ProTektor II Coatings enable multi-family wood-frame projects to meet APPP requirements during construction while maintaining affordability and design flexibility. By applying BarrierTek’s ProTektor II coatings, developers can often satisfy the APPP requirements with little or no deviation from conventional wood-frame construction methodologies, minimizing additional costs and avoiding potential construction delays.   

To further support multi-family developers, projects fully treated with ProTEKtor II coatings often qualify for reduced Course of Construction Insurance premiums—strengthening the financial case for using BarrierTek products. For both municipalities and developers, ProTEKtor II represents a practical solution in promoting safer densification and fostering resilient community growth.

BarrierTek, a Canadian company at the forefront of fire safety innovation, is redefining how we mitigate risk and protect infrastructure in wood-frame construction. With roots in Alberta and recent expansion into British Columbia, BarrierTek’s story is one of Canadian research, entrepreneurship, and a collaborative commitment to meeting the requirements of the wood construction industry.  

The company began with a simple but powerful question: How can we help reduce the risk of fire during construction in a way that is practical, effective, and scalable? The answer led to the creation of BarrierTek’s proprietary fire-resistant coatings and application systems—solutions designed to contribute to the protection of wood substrates during the construction phase.

Bringing new technology to market comes with its share of challenges. Through ongoing collaboration with engineers, architects, code officials, and developers, BarrierTek has been able to overcome obstacles and establish where they fit within the industry. As this collaboration continues, BarrierTek is earning its place as a trusted partner in modern wood frame construction.