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Exigences de contreventement

La partie 9 du code du bâtiment 2024 de la Colombie-Britannique sur les exigences de contreventement pour les maisons et les petits bâtiments a subi des révisions importantes et la liste des types de panneaux de façade acceptables a été augmentée. Existe-t-il un type de mur équivalent aux précédentes exigences de contreventement?

Les panneaux de contreventement du BCBC 2018 (l’équivalent du Code national du bâtiment 2020) peuvent être du contreplaqué de 11 mm ou du revêtement intermédiaire de panneaux de lamelles orientées sur des montants de 400 mm centre à centre, ou du contreplaqué de 12,5 mm ou du revêtement intermédiaire de panneaux de lamelles orientées sur des montants de 600 mm centre à centre avec un fini de plaques de plâtre sur la surface intérieure et des assemblages normaux. Les panneaux de contreventement du BCBC 2024 (l’équivalent des dispositions du Code national du bâtiment 2025) peuvent être revêtus de contreplaqué ou de panneaux de lamelles orientées (panneaux de bois de structure), de gypse seul (panneau de gypse) ou de planches de bois diagonales. 

Comme les options de contreventement de 2018 n’exigeaient pas le blocage des chants de revêtement intermédiaire, la seule option pour obtenir l’équivalent selon les normes de 2024 pour la même construction serait d’utiliser des panneaux de bois de structure en configuration A. La configuration A des panneaux de bois de structure est définie par du revêtement intermédiaire de 9,5 mm sur des montants de 400 mm centre à centre avec du panneau de gypse du côté opposé. L’épaisseur du revêtement intermédiaire ressemble davantage à celle de la configuration B des panneaux de bois de structure, et serait plus solide qu’un équivalent non bloqué.

How can one determine the Fire Resistance Rating (FRR) and Sound Transmission Coefficient (STC) ratings for wood stud shear walls that include plywood on one or both sides and are finished with gypsum? To achieve a 1-hour rating, is it possible to use an existing tested gypsum assembly to meet both FRR and STC requirements and simply add plywood without affecting the ratings? Is there a better way to determine the FRR and STC ratings in this scenario?

Pour en savoir plus sur les nouvelles dispositions sur le contreventement :

The calculator is a free web tool that determines the required length of bracing in a wall line based on simple inputs for building geometry and site conditions. In addition, the tool includes numerous pop-ups that elaborate on and explain the relevant clauses from NBC 2025.

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Préfabrication
hors chantier

À l’échelle du pays, gouvernements et constructeurs réclament des solutions de logement plus rapides, abordables et durables, et la préfabrication hors chantier est fréquemment mise de l’avant comme un élément essentiel de la solution. Mais l’industrie canadienne de la construction est-elle réellement capable de produire des logements à grande échelle selon ces méthodes, ou faudra-t-il d’abord réaliser d’importants investissements?

Le secteur canadien de la construction hors chantier est plus avancé et mieux préparé qu’on pourrait le croire. Les fabricants en activité disposent déjà des connaissances, des équipements et de la capacité nécessaires pour fournir des logements à une échelle beaucoup plus élevée au moyen de structures en bois préfabriquées. L’Ontario offre un exemple concret de la manière dont ce potentiel peut être mis en œuvre dès maintenant.

Au printemps 2025, l’Ontario Structural Wood Association (OSWA) a mené un sondage provincial auprès des fabricants de charpentes légères en bois. Près de la moitié des acteurs de l’industrie ont répondu au sondage, lequel montre qu’avec leur équipement actuel et un seul quart de travail, ces entreprises pourraient livrer 12 000 unités de logement par an. Si toute l’industrie était mobilisée, ce volume pourrait aisément atteindre 24 000 unités — et cette capacité existe déjà. Aucun nouvel investissement majeur ne serait nécessaire, hormis l’assurance d’une demande stable soutenant une production continue.

Le secteur ontarien de la préfabrication compte environ 40 fabricants capables de produire des panneaux muraux, des cassettes de plancher, des cassettes de toit et, dans certains cas, des maisons modulaires complètes. Le secteur comprend à la fois de grandes installations automatisées et de plus petits fabricants qui peuvent accroître leur production au rythme de la demande. Environ la moitié de ces entreprises sont déjà certifiées, ou sont en voie de l’être, selon la norme nationale CSA A277 pour la construction en usine.

Face à l’urgence d’augmenter l’offre de logements abordables et durables, tirer parti de ce réseau manufacturier existant constitue une solution immédiate et rentable. L’expertise et l’infrastructure requises existent déjà. Ce qui fait principalement défaut, c’est la présence d’une demande stable et coordonnée permettant de mobiliser pleinement cette capacité.

Le Canada n’a pas à attendre de nouvelles technologies ni de nouvelles installations pour accroître la construction hors chantier. Le secteur de la charpente légère en bois en Ontario prouve que la capacité de construire plus rapidement, plus efficacement et de façon plus durable existe déjà. Si cette industrie éprouvée était mieux comprise et les mécanismes d’approvisionnement mieux coordonnés, elle pourrait contribuer sans délai à répondre aux besoins en logements.

L’expérience ontarienne illustre ce qui peut être réalisé à l’échelle nationale. Chaque région compte un réseau semblable de fabricants de fermes, de panneaux et de produits de bois d’ingénierie, lequel recourt de plus en plus à des systèmes modulaires et à des panneaux préfabriqués pour des projets unifamiliaux, multifamiliaux et de hauteur moyenne (4 à 6 étages).

Les avantages sont bien connus :
- Délais de construction écourtés et réduction des besoins de main-d’œuvre sur les chantiers
- Réduction des pertes de matériaux et amélioration du contrôle de la qualité
- Prévisibilité accrue des coûts et coordination renforcée entre les corps de métier
- Aptitude éprouvée à répondre aux besoins associés aux projets résidentiels de grande envergure et à unités multiples
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Exigences de contreventement

I’ve heard composite decking is more durable and eco-friendly than real wood.
Is that true?

Real wood continues to outperform composite alternatives when it comes to durability, sustainability, comfort, and long-term value.

Les panneaux de contreventement du BCBC 2018 (l’équivalent du Code national du bâtiment 2020) peuvent être du contreplaqué de 11 mm ou du revêtement intermédiaire de panneaux de lamelles orientées sur des montants de 400 mm centre à centre, ou du contreplaqué de 12,5 mm ou du revêtement intermédiaire de panneaux de lamelles orientées sur des montants de 600 mm centre à centre avec un fini de plaques de plâtre sur la surface intérieure et des assemblages normaux. Les panneaux de contreventement du BCBC 2024 (l’équivalent des dispositions du Code national du bâtiment 2025) peuvent être revêtus de contreplaqué ou de panneaux de lamelles orientées (panneaux de bois de structure), de gypse seul (panneau de gypse) ou de planches de bois diagonales. 

Comme les options de contreventement de 2018 n’exigeaient pas le blocage des chants de revêtement intermédiaire, la seule option pour obtenir l’équivalent selon les normes de 2024 pour la même construction serait d’utiliser des panneaux de bois de structure en configuration A. La configuration A des panneaux de bois de structure est définie par du revêtement intermédiaire de 9,5 mm sur des montants de 400 mm centre à centre avec du panneau de gypse du côté opposé. L’épaisseur du revêtement intermédiaire ressemble davantage à celle de la configuration B des panneaux de bois de structure, et serait plus solide qu’un équivalent non bloqué.

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Préfabrication
hors chantier

I’ve heard composite decking is more durable and eco-friendly than real wood.
Is that true?

Le secteur canadien de la construction hors chantier est plus avancé et mieux préparé qu’on pourrait le croire. Les fabricants en activité disposent déjà des connaissances, des équipements et de la capacité nécessaires pour fournir des logements à une échelle beaucoup plus élevée au moyen de structures en bois préfabriquées. L’Ontario offre un exemple concret de la manière dont ce potentiel peut être mis en œuvre dès maintenant.

Au printemps 2025, l’Ontario Structural Wood Association (OSWA) a mené un sondage provincial auprès des fabricants de charpentes légères en bois. Près de la moitié des acteurs de l’industrie ont répondu au sondage, lequel montre qu’avec leur équipement actuel et un seul quart de travail, ces entreprises pourraient livrer 12 000 unités de logement par an. Si toute l’industrie était mobilisée, ce volume pourrait aisément atteindre 24 000 unités — et cette capacité existe déjà. Aucun nouvel investissement majeur ne serait nécessaire, hormis l’assurance d’une demande stable soutenant une production continue.

Le secteur ontarien de la préfabrication compte environ 40 fabricants capables de produire des panneaux muraux, des cassettes de plancher, des cassettes de toit et, dans certains cas, des maisons modulaires complètes. Le secteur comprend à la fois de grandes installations automatisées et de plus petits fabricants qui peuvent accroître leur production au rythme de la demande. Environ la moitié de ces entreprises sont déjà certifiées, ou sont en voie de l’être, selon la norme nationale CSA A277 pour la construction en usine.