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Afin de préserver et de maximiser l’accès au marché des produits du bois, nous avons placé au cœur de notre approche stratégique l’importance de reconnaître le bois comme un matériau sécuritaire, à haute performance, ans dans une vaste gamme de systèmes et de types de bâtiments. Nous nous efforçons d’influencer les codes, les normes, les politiques, afin que le bois puisse livrer concurrence en toute équité, tout en faisant progresser des projets de recherche et de démonstration qui renforcent la position du bois sur le marché. En participant en continu à l’élaboration de normes nationales et internationales, nous contribuons à aligner la construction en bois sur les attentes en matière de durabilité et de performance des bâtiments, lesquelles ne cessent d’évoluer. Nous soutenons également la croissance de la construction à ossature légère en bois, tout en nous préparant aux futurs changements réglementaires, notamment la transition vers des codes fondés sur la performance.
En 2024, le CCB a joué un rôle actif dans les réunions sur les normes et les codes canadiens. Il a ainsi contribué au renforcement des exigences sismiques pour les bâtiments de 5 ou 6 étages à ossature légère en bois, et apporté son expertise technique sur l’extension des applications de la construction en bois d’œuvre massif encapsulé (CBOME) et sur les normes canadiennes et internationales, pour assurer un traitement équitable du bois en lien avec les émissions de GES. Notre équipe Codes et ingénierie continue de prôner l’utilisation de produits du bois dans la construction en procédant à des interventions dans les codes, normes et politiques actuels et futurs. Voici quelques-uns de nos faits saillants en 2024.

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En 2024, l’équipe Codes et ingénierie du CCB a contribué de manière significative à l’évolution des codes pour qu’ils prévoient des dispositions plus favorables concernant la construction en bois d’œuvre massif encapsulé (CBOME).
Suite aux modifications apportées au Code du bâtiment de la Colombie-Britannique 2024 et au Code du bâtiment de l’Ontario 2024, il est désormais autorisé ce qui suit : (1) les bâtiments de CBOME jusqu’à 18 étages, (2) plus d’usages prévoyant le CBOME comme principal matériau structurel, (3) augmentation des éléments en bois d’œuvre massif exposés (p. ex. plafond exposé à 100 %) et (4) élargissement de l’utilisation du revêtement extérieur combustible.
Le Code national du bâtiment du Canada 2025 relèvera la limite de hauteur des immeubles résidentiels et de bureaux en CBOME de 42 m à 50 m et augmentera la quantité permise de bois d’œuvre massif exposé dans les suites, par exemple en permettant l’exposition de 100 % du plafond.
En vertu des révisions apportées au Code national de prévention des incendies du Canada 2025, il sera possible d’exposer une surface plus importante de bois d’œuvre massif pendant la construction.
Suite aux modifications apportées au Code de construction du Québec 2025 et au Règlement sur le bâtiment de Vancouver (Vancouver Building By-Law) 2025, il est désormais autorisé ce qui suit : (1) les bâtiments de CBOME jusqu’à 18 étages, (2) plus d’usages prévoyant le CBOME comme principal matériau structurel, (3) augmentation des éléments en bois d’œuvre massif exposés, et (4) élargissement de l’utilisation du revêtement extérieur combustible.
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Le CCB s’attaque à l’excès de conservatisme dans les données sur les risques sismiques au Canada, ce qui a considérablement augmenté dans l’Ouest en 2024. En effet, ce phénomène pose des problèmes dans la conception des bâtiments de moyenne hauteur qui utilisent des murs de contreventement en bois. À l’aide d’un logiciel de modélisation, le CCB démontrera la faisabilité des changements proposés afin d’atténuer l’incidence pour les bâtiments à ossature en bois. L’objectif est d’améliorer l’efficacité de la conception des murs de contreventement en bois dans les bâtiments de plusieurs étages et de garantir la faisabilité de la construction de bâtiments de moyenne hauteur dans les régions à risque sismique élevé.
Les objectifs liés au carbone intrinsèque dans la version 2025 du Code national du bâtiment et du Code national de l’énergie pour les bâtiments guideront les dispositions techniques de la version 2030 du Code national du bâtiment. Le travail du CCB est essentiel pour maintenir la place centrale qu’occupent les produits du bois dans les efforts de réduction des émissions de carbone et les objectifs environnementaux à l’échelle mondiale.
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Agissant en tant que secrétariat et fournissant une représentation supplémentaire au sein des comités techniques, le CCB a joué un rôle essentiel en proposant et en faisant évoluer les modifications techniques de la norme CSA O86, la norme canadienne pour la conception technique des charpentes en bois. Publiée en juin 2024, la dernière édition de la norme a élargi les utilisations possibles du bois dans les nouveaux systèmes.
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En 2024, le CCB a fourni un soutien important à la Commission nationale de classification des sciages lors de l’étude de réévaluation de la pruche-sapin (N). Notamment, le CCB a analysé les données d’essai et établi les valeurs de conception pour les États-Unis et le Canada.
Il a également examiné les rapports de réévaluation soumis à ALSC et au comité chargé de la norme CSA O86, et analysé l’incidence du changement des valeurs de conception de la pruche-sapin (N) pour les États-Unis et le Canada.
Dans le cadre de l’analyse de la pruche-sapin (N), le personnel a repris la procédure de dérivation des valeurs de conception canadiennes « in-grade ». La reprise de la procédure est fondamentale pour les initiatives futures portant sur les propriétés du bois de sciage, comme l’introduction d’un 5e groupe d’espèces et l’équivalence avec les espèces étrangères.
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Le CCB a lancé un projet avec trois universités pour étudier et tester le renforcement des éléments structuraux à l’aide de vis autotaraudeuses, dans le but d’améliorer l’efficacité et la constructibilité du bois d’œuvre massif. Le CCB a également élaboré des dispositions relatives à la conception sismique pour les ossatures portiques en bois, en complément d’autres systèmes en bois d’œuvre massif. Le CCB s’est associé à FPInnovations pour mener à bien un projet portant sur la réhabilitation d’éléments de bois d’œuvre massif après un incendie.
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Dans ses efforts de développement des marchés en 2024-2025, le CCB a soutenu l’essor de la construction en bois de bâtiments de moyenne et grande hauteur en Ontario. L’équipe de WoodWorks Ontario a observé une activité croissante dans les projets de logement multifamilial hybride et à ossature légère, en particulier à Toronto, à Ottawa, à Kitchener, ainsi que dans d’autres centres urbains. Suite aux récents changements apportés au Code du bâtiment de l’Ontario, il a été possible de donner le coup d’envoi à une série de projets d’immeubles de 12 à 18 étages, qui en sont à l’étape de la planification dans la région du Grand Toronto et dans la région de Durham. Les plus grands promoteurs, comme Windmill, Leader Lane, Kindred Works, et CreateTO, contribuent à cette avancée. L’un des projets phares de l’année est la tour de 14 étages de l’Université de Toronto, qui sera le plus haut bâtiment en bois d’œuvre massif au Canada.
Un nouveau secteur de la construction industrielle en bois d’œuvre massif à grande échelle est également en train d’émerger, avec des projets majeurs comme l’entrepôt de 2 250 000 pieds carrés de Prologis à Brampton et les nouveaux aménagements à Sudbury. Les efforts de vulgarisation et de soutien aux projets ont permis de mobiliser des promoteurs, des professionnels de la conception et des organismes de réglementation. Des travaux sont en cours en vue de fournir du matériel didactique à Tarion, à l’Office de réglementation de la construction de logements (ORCL) et à l’OBOA.

Le CCB a poursuivi son initiative stratégique avec Zurich Insurance consistant à suivre trois projets en cours de construction en bois d’œuvre massif en Colombie-Britannique. L’objectif était de générer des données pouvant répondre aux préoccupations en matière d’assurance et renforcer la confiance du marché. Le CCB s’est également associé à l’Université de Northern British Columbia afin d’évaluer le processus de réparation des dommages causés par une explosion à son laboratoire en bois d’œuvre massif. Les premières conclusions ont fait ressortir l’importance de la résilience structurelle et la réparabilité du bois d’œuvre.
Le 22 mai, le CCB et Climate Smart Buildings Alliance ont coorganisé une table ronde sur l’assurance au T3 Bayside, à Toronto. Trente-deux experts de l’industrie ont contribué à élaborer les futures directives, à harmoniser les pratiques d’assurance et à promouvoir la construction durable, établissant ainsi une base solide pour poursuivre la collaboration.
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To preserve and maximize market access for wood products, our strategic approach centres on ensuring wood is recognized as a safe, high-performance material across a wide range of building types and systems. We work to influence codes, standards, and policies so that wood can compete on a level playing field, while also advancing research and demonstration projects that strengthen wood’s position in the market. Through continued participation in domestic and international standards development, we help align wood construction with evolving expectations around sustainability and building performance. We also support the growth of light wood frame construction and prepare for future regulatory shifts, including the transition to performance-based codes.
The CWC has been very active with Canadian codes and standards meetings in 2024, addressing seismic increases for 5- and 6-storey light wood frame construction, providing technical expertise to broaden occupancies where encapsulated mass timber (EMTC) can be used, and providing technical expertise on international and Canadian standards to ensure wood is treated fairly with respect to GHG emissions. Our codes and engineering team continues to advocate for the use of wood products in construction through engagement in current and future codes, standards, and policy development. Here are some of our 2024 highlights.

En 2024, l’équipe Codes et ingénierie du CCB a contribué de manière significative à l’évolution des codes pour qu’ils prévoient des dispositions plus favorables concernant la construction en bois d’œuvre massif encapsulé (CBOME).
Suite aux modifications apportées au Code du bâtiment de la Colombie-Britannique 2024 et au Code du bâtiment de l’Ontario 2024, il est désormais autorisé ce qui suit : (1) les bâtiments de CBOME jusqu’à 18 étages, (2) plus d’usages prévoyant le CBOME comme principal matériau structurel, (3) augmentation des éléments en bois d’œuvre massif exposés (p. ex. plafond exposé à 100 %) et (4) élargissement de l’utilisation du revêtement extérieur combustible.
Le Code national du bâtiment du Canada 2025 relèvera la limite de hauteur des immeubles résidentiels et de bureaux en CBOME de 42 m à 50 m et augmentera la quantité permise de bois d’œuvre massif exposé dans les suites, par exemple en permettant l’exposition de 100 % du plafond.
En vertu des révisions apportées au Code national de prévention des incendies du Canada 2025, il sera possible d’exposer une surface plus importante de bois d’œuvre massif pendant la construction.
Suite aux modifications apportées au Code de construction du Québec 2025 et au Règlement sur le bâtiment de Vancouver (Vancouver Building By-Law) 2025, il est désormais autorisé ce qui suit : (1) les bâtiments de CBOME jusqu’à 18 étages, (2) plus d’usages prévoyant le CBOME comme principal matériau structurel, (3) augmentation des éléments en bois d’œuvre massif exposés, et (4) élargissement de l’utilisation du revêtement extérieur combustible.

Le CCB s’attaque à l’excès de conservatisme dans les données sur les risques sismiques au Canada, ce qui a considérablement augmenté dans l’Ouest en 2024. En effet, ce phénomène pose des problèmes dans la conception des bâtiments de moyenne hauteur qui utilisent des murs de contreventement en bois. À l’aide d’un logiciel de modélisation, le CCB démontrera la faisabilité des changements proposés afin d’atténuer l’incidence pour les bâtiments à ossature en bois. L’objectif est d’améliorer l’efficacité de la conception des murs de contreventement en bois dans les bâtiments de plusieurs étages et de garantir la faisabilité de la construction de bâtiments de moyenne hauteur dans les régions à risque sismique élevé.
Les objectifs liés au carbone intrinsèque dans la version 2025 du Code national du bâtiment et du Code national de l’énergie pour les bâtiments guideront les dispositions techniques de la version 2030 du Code national du bâtiment. Le travail du CCB est essentiel pour maintenir la place centrale qu’occupent les produits du bois dans les efforts de réduction des émissions de carbone et les objectifs environnementaux à l’échelle mondiale.

Agissant en tant que secrétariat et fournissant une représentation supplémentaire au sein des comités techniques, le CCB a joué un rôle essentiel en proposant et en faisant évoluer les modifications techniques de la norme CSA O86, la norme canadienne pour la conception technique des charpentes en bois. Publiée en juin 2024, la dernière édition de la norme a élargi les utilisations possibles du bois dans les nouveaux systèmes.

En 2024, le CCB a fourni un soutien important à la Commission nationale de classification des sciages lors de l’étude de réévaluation de la pruche-sapin (N). Notamment, le CCB a analysé les données d’essai et établi les valeurs de conception pour les États-Unis et le Canada.
Il a également examiné les rapports de réévaluation soumis à ALSC et au comité chargé de la norme CSA O86, et analysé l’incidence du changement des valeurs de conception de la pruche-sapin (N) pour les États-Unis et le Canada.
Dans le cadre de l’analyse de la pruche-sapin (N), le personnel a repris la procédure de dérivation des valeurs de conception canadiennes « in-grade ». La reprise de la procédure est fondamentale pour les initiatives futures portant sur les propriétés du bois de sciage, comme l’introduction d’un 5e groupe d’espèces et l’équivalence avec les espèces étrangères.

Le CCB a lancé un projet avec trois universités pour étudier et tester le renforcement des éléments structuraux à l’aide de vis autotaraudeuses, dans le but d’améliorer l’efficacité et la constructibilité du bois d’œuvre massif. Le CCB a également élaboré des dispositions relatives à la conception sismique pour les ossatures portiques en bois, en complément d’autres systèmes en bois d’œuvre massif. Le CCB s’est associé à FPInnovations pour mener à bien un projet portant sur la réhabilitation d’éléments de bois d’œuvre massif après un incendie.

Dans ses efforts de développement des marchés en 2024-2025, le CCB a soutenu l’essor de la construction en bois de bâtiments de moyenne et grande hauteur en Ontario. L’équipe de WoodWorks Ontario a observé une activité croissante dans les projets de logement multifamilial hybride et à ossature légère, en particulier à Toronto, à Ottawa, à Kitchener, ainsi que dans d’autres centres urbains. Suite aux récents changements apportés au Code du bâtiment de l’Ontario, il a été possible de donner le coup d’envoi à une série de projets d’immeubles de 12 à 18 étages, qui en sont à l’étape de la planification dans la région du Grand Toronto et dans la région de Durham. Les plus grands promoteurs, comme Windmill, Leader Lane, Kindred Works, et CreateTO, contribuent à cette avancée. L’un des projets phares de l’année est la tour de 14 étages de l’Université de Toronto, qui sera le plus haut bâtiment en bois d’œuvre massif au Canada.
Un nouveau secteur de la construction industrielle en bois d’œuvre massif à grande échelle est également en train d’émerger, avec des projets majeurs comme l’entrepôt de 2 250 000 pieds carrés de Prologis à Brampton et les nouveaux aménagements à Sudbury. Les efforts de vulgarisation et de soutien aux projets ont permis de mobiliser des promoteurs, des professionnels de la conception et des organismes de réglementation. Des travaux sont en cours en vue de fournir du matériel didactique à Tarion, à l’Office de réglementation de la construction de logements (ORCL) et à l’OBOA.

Le CCB a poursuivi son initiative stratégique avec Zurich Insurance consistant à suivre trois projets en cours de construction en bois d’œuvre massif en Colombie-Britannique. L’objectif était de générer des données pouvant répondre aux préoccupations en matière d’assurance et renforcer la confiance du marché. Le CCB s’est également associé à l’Université de Northern British Columbia afin d’évaluer le processus de réparation des dommages causés par une explosion à son laboratoire en bois d’œuvre massif. Les premières conclusions ont fait ressortir l’importance de la résilience structurelle et la réparabilité du bois d’œuvre.
Le 22 mai, le CCB et Climate Smart Buildings Alliance ont coorganisé une table ronde sur l’assurance au T3 Bayside, à Toronto. Trente-deux experts de l’industrie ont contribué à élaborer les futures directives, à harmoniser les pratiques d’assurance et à promouvoir la construction durable, établissant ainsi une base solide pour poursuivre la collaboration.
