La cage d’escalier enbois lamellé-cloué de l’entrée a été fabriquée sur place à partir d’un motif aléatoire de panneaux. Pour dans sa construction, ses créateurs ont utilisé une centaine de milliers de fixations et 3000 pièces de bois. Dans l’escalier, on se retrouve complètement absorbé par l’environnement de bois et la présence d’autres matériaux a été limitée à l’absolue nécessité. Pour une expérience visuelle parfaite, des efforts ont été faits pour dissimuler tous les assemblages.

Un platelage de bois en placage stratifié et de contreplaqué a servi pour le toit du très grand garage qui accueille les camions. Le bois est aussi un des principaux matériaux de finition à l’intérieur parce qu’il réchauffe l’espace.

Le bois n’a été pas choisi seulement pour son aspect visuel. C’est un matériau fiable, à l’épreuve du feu et durable. Par exemple, si du bois lamellé-cloué ou du bois en placage stratifié sont exposés à des flammes, ils se carbonisent pour former une couche protectrice.

En plus de cet aspect important, le bois exposé présente aussi des bénéfices biophiles pour les employés de la caserne.
L’idée de construire une caserne de pompiers en bois peut sembler étonnante à première vue, mais à Prince George, elle s’est imposée comme une évidence. Comme la municipalité est étroitement associée à l’industrie du bois depuis le début du 20e siècle, c’était le matériau tout indiqué pour la structure du bâtiment.

D’une superficie de 2 500 m2, la caserne de pompiers No. 1 de Prince George remplace l’ancienne qui datait de 60 ans. Le bois est à l’honneur, mais il s’agit en réalité d’un amalgame de bois, d’acier et de béton. Elle peut accommoder cinq camions, un centre des opérations d’urgence, un centre de répartition et des bureaux.


Plusieurs des éléments de la caserne sont inspirés du bois qui est utilisé autant comme un matériau structurel que comme un moyen d’expression.


Le concept du garage est celui d’un volume tapissé de bois qu’on voit de la rue et du parc à côté. Les surfaces de bois assurent une toile de fond calme et simple qui contraste avec la grande quantité d’équipement et d’accessoires. 

Prince George,
Colombie-Britannique
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Caserne de pompiers No. 1 de Prince George

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Évidemment, contrairement au béton et à l’acier, le bois n’émet très peu de carbone et il en emmagasine même. Qui plus est, il est renouvelable lorsqu’il provient d’une production forestière durable.HAUT est un exemple de structure durable de multiples façons. Sur le toit et sur la façade de la tour, on retrouve des panneaux solaires, et le refroidissement se fait par le sol. Des thermostats contrôlés par des senseurs ajustent le chauffage et la climatisation des planchers. Il y a aussi des nichoirs pour les oiseaux et les chauves-souris, des bornes de recharge pour les voitures électriques et un jardin en terrasse où emmagasiner l’eau de pluie.

Par sa conception, le projet HAUT a permis d’accélérer la transition de la construction traditionnelle en béton et en acier vers des solutions plus écologiques.
Le projet HAUT, un complexe résidentiel d’Amsterdam, sert de prototype pour la construction de tours en bois d’œuvre novatrices et écoresponsables. Le gratte-ciel de 21 étages a été récompensé par une note exceptionnelle de BREEAM. Il s’agit de la note la plus élevée en construction durable pour un immeuble résidentiel aux Pays-Bas.L’aire de plancher est d’environ 14 500 m2. On y retrouve des espaces commerciaux et publics, un stationnement à vélos et un stationnement souterrain. La tour résidentielle s’élève à 73 m et contient 52 appartements de différentes grandeurs.La structure porteuse de la tour HAUT est faite de panneaux lamellés-croisés usinés dont la production produit peu de déchets. Ils permettent un assemblage rapide et propre une fois sur le site. En l’absence d’un code de construction pour les tours en bois d’œuvre, l’équipe de conception a investi beaucoup de temps et d’énergie dans l’innovation technique et la sécurité. Les planchers et les murs sont en bois d’œuvre, mais il serait impossible d’avoir une structure complète dans les conditions humides et venteuses d’Amsterdam. Pour pallier cette contrainte, les fondations, le sous-sol et le noyau de l’immeuble sont en béton.

Amsterdam, Pays-Bas
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Le complexe Our-Shelves-Houses de Madrid est un immeuble en copropriété de huit duplex qui se partagent des aires communes et deux cœurs verticaux communiquant. Dans chacune des huit maisons, il y a trois chambres à coucher et toutes les pièces sont décalées. Un ascenseur relie les étages et les habitants se partagent une piscine, une cour et un stationnement.

La copropriété est en retrait de la rue Hernández Rubín de façon à créer une aire commune pour une utilisation privée. À l’arrière, il y a une autre cour destinée à la même utilisation.

La porte de tous les appartements donne sur un espace extérieur privé, une cour (pour les appartements du rez-de-chaussée) ou une terrasse (pour ceux des étages supérieurs). Finalement, des caractéristiques uniques permettent aux copropriétaires de personnaliser leur espace de vie.

La structure de bois protège du soleil, assure de l’intimité et est équipée de mobilier intégré. Le décalage des étages facilite la communication entre les espaces de vie et fait un lien visuel avec les terrasses et les cours intérieures.

Le système structural du bâtiment de cinq étages est composé de panneaux lamellés-croisés et d’éléments de bois lamellé. La dalle de plancher est elle aussi fabriquée à partir de panneaux lamellés-croisés combinés à des poutres de bois lamellé-collé qui forment la « cage thoracique » de l’enveloppe de l’immeuble. Le rez-de-chaussée quant à lui s’appuie sur une dalle de béton renforcée par son contact avec le sol et des étais d’acier aux coins pour les porte-à-faux.

La structure de bois lamellé-croisé et de bois lamellé-collé d’épinette et de pin, ainsi que les dalles de bois lamellé-croisé de catégorie GL24h offrent durabilité et hygrothermique en plus de leur facilité d’assemblage.

L’utilisation de bois lamellé-croisé comme matériau porteur lui permet de servir à la finition, ce qui réduit le temps d’exécution et la quantité de main-d’œuvre nécessaire.

Les installations de l’immeuble sont résolues au moyen d’un flux aérotherme avec échange de chaleur qui assure le confort hygrothermique et la ventilation des appartements avec une efficacité maximale. Un système de collecte de l’eau de pluie est utilisé pour capter les précipitations pour l’irrigation et les toilettes, et des panneaux solaires thermiques alimentent les machines aérothermes. Enfin, les appartements disposent d’une ventilation mécanique avec récupération de la chaleur pour que la circulation d’air se fasse sans avoir à ouvrir les fenêtres.
Madrid, Espagne
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Our-Shelves-Houses
Projets gagnants
Caserne de pompiers No. 1 de Prince George
La cage d’escalier enbois lamellé-cloué de l’entrée a été fabriquée sur place à partir d’un motif aléatoire de panneaux. Pour dans sa construction, ses créateurs ont utilisé une centaine de milliers de fixations et 3000 pièces de bois. Dans l’escalier, on se retrouve complètement absorbé par l’environnement de bois et la présence d’autres matériaux a été limitée à l’absolue nécessité. Pour une expérience visuelle parfaite, des efforts ont été faits pour dissimuler tous les assemblages.

Un platelage de bois en placage stratifié et de contreplaqué a servi pour le toit du très grand garage qui accueille les camions. Le bois est aussi un des principaux matériaux de finition à l’intérieur parce qu’il réchauffe l’espace.

Le bois n’a été pas choisi seulement pour son aspect visuel. C’est un matériau fiable, à l’épreuve du feu et durable. Par exemple, si du bois lamellé-cloué ou du bois en placage stratifié sont exposés à des flammes, ils se carbonisent pour former une couche protectrice.

En plus de cet aspect important, le bois exposé présente aussi des bénéfices biophiles pour les employés de la caserne.
L’idée de construire une caserne de pompiers en bois peut sembler étonnante à première vue, mais à Prince George, elle s’est imposée comme une évidence. Comme la municipalité est étroitement associée à l’industrie du bois depuis le début du 20e siècle, c’était le matériau tout indiqué pour la structure du bâtiment.

D’une superficie de 2 500 m2, la caserne de pompiers No. 1 de Prince George remplace l’ancienne qui datait de 60 ans. Le bois est à l’honneur, mais il s’agit en réalité d’un amalgame de bois, d’acier et de béton. Elle peut accommoder cinq camions, un centre des opérations d’urgence, un centre de répartition et des bureaux.


Plusieurs des éléments de la caserne sont inspirés du bois qui est utilisé autant comme un matériau structurel que comme un moyen d’expression.


Le concept du garage est celui d’un volume tapissé de bois qu’on voit de la rue et du parc à côté. Les surfaces de bois assurent une toile de fond calme et simple qui contraste avec la grande quantité d’équipement et d’accessoires. 

COPEAUX DE BOIS
Prince George,
Colombie-Britannique
Projets gagnants
Haut
Évidemment, contrairement au béton et à l’acier, le bois n’émet très peu de carbone et il en emmagasine même. Qui plus est, il est renouvelable lorsqu’il provient d’une production forestière durable.HAUT est un exemple de structure durable de multiples façons. Sur le toit et sur la façade de la tour, on retrouve des panneaux solaires, et le refroidissement se fait par le sol. Des thermostats contrôlés par des senseurs ajustent le chauffage et la climatisation des planchers. Il y a aussi des nichoirs pour les oiseaux et les chauves-souris, des bornes de recharge pour les voitures électriques et un jardin en terrasse où emmagasiner l’eau de pluie.

Par sa conception, le projet HAUT a permis d’accélérer la transition de la construction traditionnelle en béton et en acier vers des solutions plus écologiques.
Le projet HAUT, un complexe résidentiel d’Amsterdam, sert de prototype pour la construction de tours en bois d’œuvre novatrices et écoresponsables. Le gratte-ciel de 21 étages a été récompensé par une note exceptionnelle de BREEAM. Il s’agit de la note la plus élevée en construction durable pour un immeuble résidentiel aux Pays-Bas.L’aire de plancher est d’environ 14 500 m2. On y retrouve des espaces commerciaux et publics, un stationnement à vélos et un stationnement souterrain. La tour résidentielle s’élève à 73 m et contient 52 appartements de différentes grandeurs.La structure porteuse de la tour HAUT est faite de panneaux lamellés-croisés usinés dont la production produit peu de déchets. Ils permettent un assemblage rapide et propre une fois sur le site. En l’absence d’un code de construction pour les tours en bois d’œuvre, l’équipe de conception a investi beaucoup de temps et d’énergie dans l’innovation technique et la sécurité. Les planchers et les murs sont en bois d’œuvre, mais il serait impossible d’avoir une structure complète dans les conditions humides et venteuses d’Amsterdam. Pour pallier cette contrainte, les fondations, le sous-sol et le noyau de l’immeuble sont en béton.

Amsterdam
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Madrid, Espagne
Le complexe Our-Shelves-Houses de Madrid est un immeuble en copropriété de huit duplex qui se partagent des aires communes et deux cœurs verticaux communiquant. Dans chacune des huit maisons, il y a trois chambres à coucher et toutes les pièces sont décalées. Un ascenseur relie les étages et les habitants se partagent une piscine, une cour et un stationnement.

La copropriété est en retrait de la rue Hernández Rubín de façon à créer une aire commune pour une utilisation privée. À l’arrière, il y a une autre cour destinée à la même utilisation.

La porte de tous les appartements donne sur un espace extérieur privé, une cour (pour les appartements du rez-de-chaussée) ou une terrasse (pour ceux des étages supérieurs). Finalement, des caractéristiques uniques permettent aux copropriétaires de personnaliser leur espace de vie.

La structure de bois protège du soleil, assure de l’intimité et est équipée de mobilier intégré. Le décalage des étages facilite la communication entre les espaces de vie et fait un lien visuel avec les terrasses et les cours intérieures.

Le système structural du bâtiment de cinq étages est composé de panneaux lamellés-croisés et d’éléments de bois lamellé. La dalle de plancher est elle aussi fabriquée à partir de panneaux lamellés-croisés combinés à des poutres de bois lamellé-collé qui forment la « cage thoracique » de l’enveloppe de l’immeuble. Le rez-de-chaussée quant à lui s’appuie sur une dalle de béton renforcée par son contact avec le sol et des étais d’acier aux coins pour les porte-à-faux.

La structure de bois lamellé-croisé et de bois lamellé-collé d’épinette et de pin, ainsi que les dalles de bois lamellé-croisé de catégorie GL24h offrent durabilité et hygrothermique en plus de leur facilité d’assemblage.

L’utilisation de bois lamellé-croisé comme matériau porteur lui permet de servir à la finition, ce qui réduit le temps d’exécution et la quantité de main-d’œuvre nécessaire.

Les installations de l’immeuble sont résolues au moyen d’un flux aérotherme avec échange de chaleur qui assure le confort hygrothermique et la ventilation des appartements avec une efficacité maximale. Un système de collecte de l’eau de pluie est utilisé pour capter les précipitations pour l’irrigation et les toilettes, et des panneaux solaires thermiques alimentent les machines aérothermes. Enfin, les appartements disposent d’une ventilation mécanique avec récupération de la chaleur pour que la circulation d’air se fasse sans avoir à ouvrir les fenêtres.
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